Résultats de la recherche

  1. Africa Forum on Inclusive Economies - Keynote Address by Geraldine Fraser-Moleketi – AfDB Special Envoy on Gende

    Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit. Magnam vel doloribus hic iure nesciunt accusamus perspiciatis ab dolore omnis, quas cum dignissimos odio quia autem exercitationem dolorem non ducimus reiciendis quaerat possimus eius veniam laudantium tempore, iusto repellendus. Ea minus vel doloremque libero ut esse nemo odit ullam et ipsum.
  2. Discours - Vice-président Aly Abou-Sabaa - mauritanie signature trois accords don - 12 2014

    Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit. Magnam vel doloribus hic iure nesciunt accusamus perspiciatis ab dolore omnis, quas cum dignissimos odio quia autem exercitationem dolorem non ducimus reiciendis quaerat possimus eius veniam laudantium tempore, iusto repellendus. Ea minus vel doloremque libero ut esse nemo odit ullam et ipsum.
  3. M.

    Monsieur le Représentant du Secrétaire Général de l’Association des Institutions Africaines de Financement du Développement (AIAFD) ; Mesdames et Messieurs les Experts ;Honorables invités ; Mesdames et Messieurs; C’est un honneur pour la Banque de Développement des Etats de l’Afrique Centrale (BDEAC), et un plaisir personnel d’abriter ici à Brazzaville, les travaux de l’atelier de formation ayant pour thème « l’Approche Bancaire dans la Restructuration et la Réhabilitation des Projets de PME »dans les banques de développement et Institutions de financement en Afrique, organisé par l’Association des Institutions Africaines de Financement du Développement (AIAFD). Aussi voudrais-je souhaiter aux délégations venues d l’extérieur du Congo, une très cordiale bienvenue et un bon séjour à Brazzaville. Ces souhaits s’adressent particulièrement aux représentants de l’AIAFD dont le dynamisme et l’engagement en faveur de la spécificité du financement des projets de développement ne font plus aucun doute. Monsieur le Représentant du Secrétaire général, Le thème proposé est d’actualité et très pertinent dans la mesure où il aborde un sujet au cœur de nos préoccupations, à savoir le rôle essentiel que doivent jouer les Petites et Moyennes Entreprises et les Petites et Moyennes Industries dans le développement du secteur privé qui, à travers les emplois qu’il génère, contribue à l’amélioration du bien-être des populations et par conséquent au développement de nos Etats. Ce secteur demeure toutefois confronté à de multiples difficultés parmi lesquelles : La faiblesse des capacités des porteurs de projets en matière de formation et d’informations sur les questions liées à l’entreprenariat, la gestion des projets et le développement des activités ; l’insuffisance des structures d’accompagnement des promoteurs tels que les centres de développement d’affaires, les incubateurs et les pépinières d’entreprises ; les difficultés des promoteurs à lever les conditions suspensives une fois les financements accordés. Ces difficultés ont pour conséquence d’entraîner l’échec de certaines PME / PMI, les empêchant ainsi de jouer pleinement leur rôle. Cet Atelier nous offre donc l’opportunité de nous pencher sérieusement sur ces contraintes en vue d’apporter des solutions concrètes, capables d’assurer la pérennité de ce secteur. Distingués invités, Je conçois le présent Atelier comme un début de réponses aux préoccupations ci-dessus exprimées et les travaux qui vont s’y dérouler une semaine durant, s’articuleront autour du partage des expériences, des témoignages et des cas pratiques. Ces travaux doivent faciliter le dialogue entre les participants et aboutir à l’analyse profonde des causes de l’échec des projets des PME / PMI, ainsi qu’à l’acquisition des compétences nécessaires pour la restructuration et la réhabilitation des projets en difficultés qui trop souvent, dégradent nos portefeuilles de prêts. Mesdames et Messieurs, Cet Atelier de formation est aussi une passerelle entre les Institutions financières et les promoteurs des projets ; c’est un cercle de réflexion, d’information, de sensibilisation et de conscientisation notamment sur les bonnes pratiques des Institutions financières en ce qui concerne la restructuration et la réhabilitation des projets des PME/PMI. Toute chose qui s’inscrivent dans le sens des missions assignées à la BDEAC, à savoir contribuer à l’émergence d’un secteur privé viable et compétitif en Afrique en général et dans les pays de la CEMAC en particulier. Telle est le sens de la mission première que les pères fondateurs ont donné à la BDEAC dès sa création en 1975 à savoir promouvoir le développement économique et social des pays membres par le financement des investissements nationaux, multinationaux et des projets d’intégration économiques. Distingués participants, Le programme des travaux qui m’a été communiqué est plutôt dense. Aussi, je vous exhorte à faire converger vos énergies afin d’apporter une contribution de qualité à la réflexion ainsi engagée. Pour ma part, j’attends de cet Atelier : Un diagnostic approfondi des causes de l’échec des PME / PMI, Une approche concrète sur la manière de restructurer et réhabiliter les PME/PMI, Une mise à la disposition des PME/PMI des outils d’accompagnement et de prévention des dysfonctionnements. Je souhaite pleins succès à ces travaux et déclare ouvert, l’Atelier de formation sur « l’Approche Bancaire dans la Restructuration et la Réhabilitation des Projets des PME /PMI dans les banques de développement et Institutions de financement en Afrique ». Je vous remercie pour votre aimable attention.
  4. Allocution d’ouverture du Président de la Banque

    Excellence Monsieur le Ministre, Excellences, Mesdames et Messieurs les Ambassadeurs et Chefs de Missions Diplomatiques, Monsieur le (Représentant du) Président de la Commission CEMAC, Monsieur le (Représentant du) Gouverneur de la BEAC, Messieurs les Administrateurs, Mesdames et Messieurs les Représentants des Institutions financières, Distingués invités, Mesdames et Messieurs en vos rangs et qualités respectifs, Il m’est particulièrement agréable de vous accueillir en ces lieux, à l’occasion de la rencontre annuelle de Présentation du Bilan des activités et des Perspectives 2015 de la Banque de Développement des Etats de l’Afrique Centrale (BDEAC). Aussi voudrais-je, très sincèrement, dire merci à ceux qui ont fait le déplacement de Brazzaville pour rehausser l’évènement de leur présence et souhaiter à nos convives ici présents, la plus cordiale des bienvenues. Cette participation massive et de diverses provenances constitue à mes yeux le signe d’une délicate attention et la preuve d’un intérêt avéré pour les activités de la BDEAC et donc pour son devenir en tant qu’Institution dédiée de la Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC) pour le financement du développement. Excellences, Distingués invités, Mesdames et Messieurs, A travers la revue des principaux indicateurs qui s’y rapportent, l’évènement qui nous réunit ce jour, traduit pour la Banque une quête de l’amélioration de ses performances. Ainsi après l’édition de 2012, les circonstances n’ont pas permis de réitérer en 2013 cet exercice qui s’inscrit désormais dans les usages de la Banque, comme un instrument de mesure de sa situation et d son évolution. En effet, trente neuf (39) années après sa création, la BDEAC s’organise pour être l’Institution de référence de la Sous région pour le financement du développement et se positionne également et surtout, comme une Banque de Développement fonctionnant aux normes internationales et qui, à l’instar d’autres Institutions de financement du Développement, dispose d’une plateforme d’échanges pour ses rencontres annuelles. Tel est l’objectif principal de la présente cérémonie. A ce sujet, le chemin est certes encore long à parcourir, mais comme dit le poète, « brindille après brindille, l’oiseau fait son nid ». Excellences ; Mesdames et Messieurs ; La BDEAC est une Institution qui opère dans un espace territorial aux caractéristiques pour le moins inhabituelles. En effet, la zone CEMAC affiche des indicateurs macro économiques rassurants, mais elle est également marquée par la faiblesse de ses infrastructures notamment dans les domaines de transport et d’énergie etc. Placée au cœur de la solution à cette équation, la partition de la BDEAC est pour le moins délicate. Aussi, et pour mieux jouer son rôle, il a d’abord fallu prendre des mesures d’ajustement pour assurer la continuité des opérations avant de se définir une vision et de se doter d’un Plan stratégique articulé autour des principaux axes que sont notamment la mise aux normes internationales par la poursuite du programme des réformes et le renforcement financier de la Banque. S’agissant en premier lieu de la mise aux normes, la poursuite du Programme des réformes m’a paru être une condition préalable à toute avancée, c’est pourquoi la BDEAC y a concentré tous ses efforts pendant cinq ans pour les concrétiser. Ainsi, au-delà du Programme initialement préconisé et dont le champ d’application a été redéfini et renforcé, des mesures conservatoires et préparatoires ont dû être prises au niveau des opérations de la Banque pour préparer l’implémentation des réformes et dépassant la seule définition des politiques et procédures, la Banque s’y est employée à arrimer son système de gestion et ses méthodes aux normes internationales par la mise en place d’outils informatiques les plus cruciaux au fonctionnement optimal de la Banque. Ces réformes sont aujourd’hui quasiment achevées et graduellement mises en application par les services de la Banque dans leurs opérations quotidiennes. Je suis convaincu qu’au-delà de la sécurisation des opérations, elles auront un impact certain sur l’attractivité de l’Institution qui pourra dès lors, se prêter à la notation, condition nécessaire à la mobilisation des ressources appropriées au financement des projets de développement. C’est le lieu ici de dire merci à tous les acteurs impliqués dans la conception de ces réformes, mais aussi dans le diagnostic, les solutions préconisées et la mise en œuvre finale de ces réformes importantes pour le positionnement de la BDEAC. A cet égard, e salue le rôle confraternel de l’Agence Française de Développement (AFD), de la Banque Africaine de Développement (BAD), de la Banque Européenne d’Investissement (BEI), de la Banque Mondiale et la Banque Arabe de Développement Economique en Afrique (BADEA). Quant au second axe de la démarche arrêtée, il convient de rappeler que l’assise financière de la BDEAC a été progressivement renforcée grâce notamment : à l’organisation en 2010, du premier Emprunt obligataire avec appel à l’épargne publique ; au renforcement de l’Aide Budgétaire Globale (ABG) française, dédiée au financement des projets intégrateurs ; au prêt de l’Etat siège en 2011, d’un montant de cent milliards de francs CFA, dont Cinquante (50) milliards ont été tirés ; à l’Emprunt en 2013 auprès de la Banque de Développement de Chine ; à l’augmentation de dix (10) à cinquante (50) milliards de francs CFA de la ligne de refinancement de la Banque des Etats de l’Afrique Centrale (BEAC) en octobre 2014. Distingués invités, Mesdames, Messieurs, La stratégie sus-décrite a globalement abouti à des résultats satisfaisants et les activités de l’Institution sont mieux orientées. Cette nouvelle dynamique, conjuguée avec des perspectives favorables au niveau de la sous région et de la Banque, ont justifié la décision du renforcement des fonds propres de la Banque par l’augmentation du capital sur la base du Plan Stratégique 2013-2017. Porté à 1200 milliards de francs CFA, avec une fraction libérable d’environ cinq (5) milliards de francs CFA pour chaque Etat membre, ce capital aura pour effet d’accroître la capacité d’emprunt de la BDEAC mais surtout, il augmentera son volume d’intervention par opération et par emprunteurs, notamment en direction du secteur privé. Vous l’aurez compris, les réformes que traduisent désormais les méthodes de travail de la Banque appellent des décisions fortes de la part des autres acteurs concernés par la problématique du financement du développement dans la zone. En effet, au redressement de l’Institution dédiée, doit s’ensuivre une démarche adaptée des Etats membres de la CEMAC pour opérer des choix déterminants quant à l’utilisation des excédents de liquidités de la zone pour le financement des économies. Cette réflexion est déjà engagée en réalité, il reste aux acteurs concernés à se déterminer en conscience et responsabilité. C’est à cela qu’invite la direction de la Banque qui, à ce stade, a pleinement joué sa partition. Distingué invités, Mesdames, Messieurs, L’édition précédente de cette rencontre avait permis aux services de la Banque de présenter leurs attributions réglementaires et leurs activités au cours de l’exercice. Elle avait également été l’occasion de partager avec vous les éléments fondamentaux de la Vision de la Banque à l’horizon 2025, vision définie en cohérence avec la volonté d’émergence de nos Etats –membres. Au cours de la présente cérémonie, je vous propose de découvrir l’état de mise en œuvre du programme des réformes, et au-delà, les avancées du Plan stratégique 2013-2017. Cette revue sera complétée par les exposés détaillés des services de la banque sur la teneur exacte des réformes et des outils acquis pour leur mise en exploitation. Distingués invités, Mesdames, Messieurs, Je termine mon propos en vous réitérant mes remerciements pour votre présence et en formulant le souhait que l’écho de cette rencontre résonne dans tous les Etats – membres de la CEMAC et au-delà, comme le LA d’une BDEAC en constante progression, jouant un rôle de plus en plus incontournable dans le financement des économies de la sous-région. La BDEAC sait compter sur l’esprit constructif des participants ici présents pour une rencontre productive à tous points de vue. Je vous remercie pour votre aimable attention.