Résultats de la recherche

  1. Accord portant création de la BDEAC

    Décisions des Chefs de Gouvernements de Etats de l'Afrique Centrale pour la création d'un instruments de développement dans la sous région
  2. Cardre général d'intervention

    Détermination des domaines, modalités d'intervention, directives de financement et utilisations des ressources, relations avec les partenaires
  3. Guide de l'opérateur privé

    Le présent guide a pour vocation de fournir aux opérateurs privés les clefs de compréhension des principes généraux du financement des projets d'investissement par la BDEAC.
  4. CADRE MACROECONOMIQUE DU CAMEROUN

    Généralités Avec une population de 22,8 millions d’habitants répartie sur un territoire 475 442km2, soit une densité de 48 habitants/km2, le Cameroun est le pays le plus peuplé de la Zone CEMAC. Le taux de croissance démographique est de 2,5 % et la population urbaine représente 53,2 % de la population totale. L’espérance de vie à la naissance est de 55,1 ans, le taux de mortalité des enfants de moins de 5 ans s’établissait à 95,0 ‰. Le pays est classé au 152e rang de l’IDH en 2014 sur 187 pays.
  5. CADRE MACROECONOMIQUE DE LA CENTRAFRIQUE

    Généralités La République Centrafricaine (RCA) est un pays enclavé qui s’étend sur 623 000 km². Son climat est de type équatorial, caractérisé par une pluviométrique importante. Les pays limitrophes de la RCA sont le Soudan par le nord-est, le Sud du sud Soudan à l’est, la République du Congo par le sud-ouest, le Cameroun à l’ouest, et le Tchad au nord. Le pays dispose de beaucoup de cours d’eau (Oubangi, Chari, Logone, Membere, etc.). La RCA compte 5 millions d’habitants, dont plus de la moitié vit en zone urbaine. L’espérance de vie à la naissance est de 48 ans, le taux de mortalité des enfants de moins de 5 ans est de 173 pour 1000 naissances vivantes, le taux d’alphabétisation des adultes se situait à 48,6 % en 2010.
  6. CADRE MACROECONOMIQUE DU CONGO

    Généralités La République du Congo dispose d’une population estimée à 4,3 millions d’habitants en 2014 pour une superficie de 342 000 Km2. La population croît au taux annuel moyen de 2,8%. 70 % de la population totale vit en ville, notamment à Brazzaville et à Pointe-Noire. Selon l’Indice de Développement Humain (IDH) du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD)... Lire la suite
  7. Evolution récente de l'économie Camerounaise et perspectives

    La production globale s’est contractée de 2,0 % contre une progression de 3,7 % en 2019, conséquence des effets de la pandémie de la Covid-19 sur plusieurs branches de l’économie camerounaise. En effet, l’activité dans le secteur hors pétrole a baissé de 2,2 %, résultant du recul de la production dans l’agriculture, la sylviculture, l’industrie manufacturière, l’énergie, le transport, le commerce, l’hôtellerie et la restauration. En revanche, le secteur pétrolier a enregistré une légère hausse de 0,4 % de la production après une forte reprise (+8,5 %) en 2019.
  8. Evolution récente de l'économie Centrafricaine et perspectives

    La croissance de l’activité a beaucoup ralenti à la suite de la crise sanitaire liée à la pandémie de la Covid-19. Le PIB a en effet progressé de 0,6 % contre 2,8 % en 2019, en lien avec la baisse de la production dans les industries manufacturières, l’hôtellerie et le commerce. En revanche, l’activité dans le secteur des BTP est restée orientée à la hausse, soutenue par les travaux d’infrastructures routières et aéroportuaires
  9. Evolution récente de l'économie Congolaise et perspectives

    La production globale de l’économie a chuté de 6,8 % en 2020. Les secteurs hors pétrole et pétroliers ont tous les deux sous-performé. D’une part, avec une baisse d’activité de 8,0 %, le secteur hors pétrole a beaucoup souffert des conséquences de la crise sanitaire (notamment dans les branches BTP, commerce, industries manufacturières, les autres services, la restauration et l’hôtellerie), alors qu’il avait déjà amorcé une sortie fragile mais progressive de la zone négative. D’autre part, le déclin naturel de la production sur plusieurs champs en activité, les difficultés d’importation des équipements, le report de certains investissements importants (lié à la faiblesse des cours du pétrole et à l’incertitude autour de la hausse de la demande mondiale des hydrocarbures), ont provoqué la contraction de 5,8 % de la valeur ajoutée du secteur pétrolier.
  10. Evolution récente de l'économie Gabonaise et perspectives

    Le PIB s’est contracté de 2,4 % contre +2,5% en 2019, en raison essentiellement du net recul de l’activité dans le secteur pétrolier (-10,4 % après une croissance de 13 % en 2019). Celle du secteur hors pétrole a baissé dans une moindre mesure (-0,2 % alors qu’elle était de -0,1% en 2019). Cette légère détérioration de la valeur ajoutée non pétrolière est due notamment à la faible performance de l’activité dans les branches industries agroalimentaires, autres industries, BTP, commerce, hôtellerie-restauration et des autres services (immobilier, services rendus aux entreprises et aux ménages).
  11. Evolution récente de l'économie Equato-guinéenne et perspectives

    Alors que l’économie équato-guinéenne montrait des signes de redressement au quatrième trimestre 2019, la crise sanitaire de la pandémie du Covid-19 est venue perturber le profil de reprise en maintenant la production globale en récession (-4,6 % contre 5,6 % enregistrés en 2019. Le secteur hors pétrole a perdu 2,5 points de croissance par rapport à 2019, pour finir à -7,8 %, plombé par le confinement, la fermeture des frontières et l’arrêt total ou partiel d’activité dans plusieurs branches de l’économie. Le secteur des hydrocarbures est resté en zone négative, minée par la baisse tendancielle de la production et par des cours relativement faibles.
  12. Evolution récente de l'économie Tchadienne et perspectives

    L’économie tchadienne a subi les effets de la crise du Covid-19. La production globale s’est contractée de 0,9 % contre +3,0 % en 2019, en raison des contreperformances plus prononcées que prévues de la production pétrolière (-6,9 %) et des activités du secteur hors pétrole (-1,6 %, en dépit de l’augmentation de 4,3 % du bétail et de la hausse 63,0 % de la production de coton).