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Technosial Congo

Le projet de construction d’une usine de stockage, de mixage et de distribution des produits chimiques à Pointe-Noire a été identifié par la Banque, par saisine du Président Directeur Général de la société Technosial-Congo en date du 18 octobre 2013. En effet, les sociétés pétrolières utilisent des produits chimiques pour maximiser leur production, nettoyer leurs installations et enfin réduire la pollution. Or à ce jour, aucune société basée en République du Congo ne stocke ces produits. Ils sont tous importés d’Europe, des Etats-Unis et d’Asie. Les importations de ces produits chimiques causent d’énormes problèmes d’approvisionnement aux sociétés pétrolières, avec des délais de plus en plus longs, impactant négativement leur production. Partant de ce constat et de l’opportunité qu’offre la mise en place du programme dit « local content » qui encourage la participation des nationaux aux activités de production pétrolière, Technosial-France dans le but de développer ses activités au Congo et dans la sous-région a jugé opportun d’affecter toutes ses activités produits chimiques à Technosial-Congo. La note circulaire N°01272/MHC/MTSS/CAB du 07 juillet 2014 élaborée conjointement par le Ministère des Hydrocarbures et celui du Travail et de la Sécurité Sociale confirme cet engagement en rappelant aux entreprises des secteurs pétroliers que l’attribution et l’exécution des marchés de sous-traitance et de prestations de services dans le secteur pétrolier doivent être faites dans la stricte observation des prescriptions législatives et réglementaires suivantes : - la priorité d’embauche des nationaux ainsi que leur formation ; - la priorité, pour la réalisation des travaux pétroliers, aux fournitures et services des sociétés de droit congolais ; - la participation des nationaux au capital social des sociétés de sous-traitance pétrolière et de prestations de services ; - la réservation d’une part conséquente des marchés de sous-traitance et des prestations de services aux entreprises promues par les nationaux ; Cette note circulaire cadre bien avec l’initiative de la société Technosial-Congo qui envisage recruter principalement la main d’œuvre locale. De plus, ses associés sont tous congolais. Le projet a pour objet la construction d’une usine de stockage, de mixage et de distribution de produits chimiques à Pointe-Noire sur un terrain de 5.000 m2 situé à Djéno (Pointe-Noire).

La Fermière

Le projet de création d’un complexe agropastoral à Mouyondzi (République du Congo) a été identifié le 29 novembre 2010 à travers une saisine directe de la société promotrice de ce projet « LA FERMIERE SARL ». Une société de droit Congolais au capital social de FCFA 300 millions. Cette créée le 02/11/2010, elle a pour objectif principal la valorisation de la production agricole et animale dans le Département de la BOUENZA au Congo et plus concrètement dans le district de MOUYONDZI, une localité située au centre du département, à 280 km de Brazzaville et à 300 km de Pointe-Noire. L’activité principale de la population est l’agriculture. Ce projet rentre dans le cadre de la mise en place d’un programme ambitieux de développement du district afin de capitaliser ses deux principaux atouts à savoir : (i) un environnement naturel favorable au développement de l’agriculture ; et (ii) une population jeune capable de se fédérer autour des actions de développement local intégré. Les investissements prévus dans le cadre du projet devraient permettre : ◾la mise en valeur de 500 hectares de terrain par an pour la culture du mais, le manioc, l’arachide, l’haricot, le soja, et le poids d’angole; ◾la mise en valeur de 500 hectares de terrain par an pour la culture du mais, le manioc, l’arachide, l’haricot, le soja, et le poids d’angole; ◾la construction d’une ferme avicole capable de produire 240.000 poulets de chair par an en bandes successives et l’élevage de 40.000 poules pondeuses en vue de produire 10.0100.000 œufs de table par an ; ◾l’installation d’une unité de fabrique de l’aliment de bétail destiné à la consommation dans la ferme avicole.

Likouala Timber

La société « LIKOUALA TIMBER », en abrégé LT, une société anonyme avec conseil d’administration de droit congolais, régie par les lois en vigueur au Congo, notamment la réglementation OHADA. Elle a un capital social de FCFA 1.000.000.000 .Elle a pour objet : ◾l’exploitation forestière et toutes les activités de transformation et/ou de négoce associées ou dérivées, indépendantes ou non de l’activité forestières ; ◾la participation par tous les moyens à toutes entreprises ou sociétés créées pouvant se rattacher à l’objet social, notamment par voie de création de sociétés nouvelles, etc.

Réhabilitation des infrastructures de l’aéroport international Hassan Djamous de N’Djaména

Le projet vise à augmenter la capacité d’accueil de l’Aéroport de N’Djamena afin de : faire face à la croissance soutenue des trafics enregistrés au cours des dix dernières années et offrir un cadre décent aux voyageurs, la population tchadienne dans son ensemble, les compagnies aériennes ainsi que l’ensemble des intervenants dans les domaines auxiliaires du transport aérien. Sur le plan sectoriel, ce projet de réhabilitation des infrastructures de l’Aéroport International Hassan DJAMOUS de N’Djamena s’inscrit dans la poursuite de la mise en place des infrastructures essentielles pour le développement socio-économique du Tchad

Projet de construction du Complexe laitier de Mandalia

Le projet consiste en la construction à Mandalia, d’un complexe laitier et de trois (3) fermes multifonctionnelles, dans quatre (4) sites distincts en République du Tchad (Mandalia, Mara, Tilo, Miandoum), avec une capacité de production journalière de 65 000 litres de lait par jour. Ces différentes unités de production fourniront, en plus des produits laitiers, des œufs, du poulet de chair, des légumes, des céréales et des fruits, à toute la population tchadienne. Sur le plan sectoriel, le projet permettra de répondre à une demande sans cesse croissante de produits laitiers.

Projet de construction d’un complexe agro industriel de palmier à huile par Palme d’or

Le projet a pour objet l’implantation d’une palmeraie d’une étendue de 5 000 ha et de deux usines : l’une pour la production d’huile de palme brute et l’autre pour le raffinage en vue de la production d’une huile de table Cette opération est conforme aux orientations du Plan Stratégique 2017-2022 de la BDEAC car elle contribue à la mise en œuvre de la politique de diversification de l’économie nationale. Le projet aura un impact considérable sur le plan socio-économique, notamment sur les communautés locales ainsi que sur la commune de la Lèsse. Sur le plan socioéconomique, le projet présente d’énormes avantages aussi bien pour la population de la zone du projet que pour l’Etat Centrafricain. On note ainsi : La création d’emplois directs et indirects pour la population environnante : au terme du projet le complexe emploiera 500 ouvriers pour la plantation, 60 ouvriers pour l’usine et une quinzaine de cadres et agents de maitrise. La réalisation d’un programme d’infrastructures sociales : un village pour la main d’œuvre et une zone résidentielle pour les cadres, des bâtiments sociaux dont un centre médical et une école de 6 classes seront construits ; La création et l’entretien d’un réseau de pistes rurales et d’ouvrages d’art dans la zone du projet ; La réalisation d’un programme de développement des plantations villageoises de palmiers à huile au profit des communautés environnantes ; L’amélioration de la balance commerciale du pays à travers des perspectives d’exportation de l’huile de palme produite en RCA et la génération de recettes supplémentaires pour le compte de l’Etat.

Projet PEGASOS à Malabo

Visite de site du projet de construction d'une boulangerie industrielle à Malabo (Guinée Équatoriale) de la société PEGASOS S.A.lors d'une mission d'évaluation par la BDEAC en avril 2014.

Stratégie de la BDEAC dans l’Industrie et l’Agro-industrie

Une politique agricole solide et dynamique constitue l'un des principaux piliers de croissance économique et de développement durable. Fort de ce constat, des efforts importants ont été entrepris par les Autorités des pays de la sous-région CEMAC pour faire décoller les productions agropastorales et halieutiques, mais les résultats obtenus n’ont pas toujours été à la hauteur des attentes. La plupart des études et avis exprimés sur la question montrent que la faible disponibilité des services financiers pour les acteurs de l’agriculture et les acteurs ruraux, et surtout l’inadéquation entre l’offre et la demande de crédit agricole est à la base de la faiblesse de la productivité agricole dans ces pays. En effet, les financements des bailleurs de fonds bilatéraux et multilatéraux se font de plus en plus rares et les financements des services financiers formels sont faibles et ne concordent pas, que ce soit en termes de volume ou de type de service avec les besoins.
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