Depuis 2010, la principale préoccupation de la Banque est de s’accorder sur le mode opératoire, qui fera du programme d’intégration, une réalité. En attendant, la BDEAC, dans ses attributions, met l’accent sur les priorités suivantes : • Premièrement les INFRASTRUCTURES de transport qui feront de la zone CEMAC un véritable marché pour la circulation des biens, des marchandises et des personnes, permettant aux pays, dans leur diversité, de profiter mutuellement des avantages comparatifs et des atouts des uns et des autres. Dans cette dynamique, la Banque a la charge d’organiser la Table Ronde des Bailleurs de Fonds, qui participera au financement du Plan Directeur Consensuel des Transports en Afrique Centrale; • La seconde priorité à trait aux INFRASTRUCTURES du secteur de l’Energie, afin de répondre et d’accompagner les défis et les grandes orientations des pays de la CEMAC. Ceux –ci souhaitent tout mettre en œuvre pour transformer davantage leurs matières premières, au niveau local, tout en devenant compétitifs, afin de satisfaire à leurs besoins régionaux et d’inonder les autres marchés. Cette compétitivité ne sera réelle et acquise que lorsque coûts de production baisserons. C’est dans ce sens qu’un accent particulier est mis sur le développement des centrales hydro-électriques, dans une zone où les ressources hydriques sont abondantes. • Les autres défis auxquels la Banque est confrontés concernent des secteurs essentiels comme l’Education, la Santé et tous les autres projets à fort impact social, visant l’autonomie et la sécurité alimentaire des populations.